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Qu’il s’agisse de logiciels métiers, de bases de données, de plateformes de transmission, de traçabilité et d’archivage, CONEX apporte une réponse
aux problématiques de la dématérialisation douanière
et plus largement du commerce international.
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or, selon les lignes de produits, la production et les commandes sont réalisées dans l’un ou l’autre des deux pays de l’Union : Pologne et France. Avant la mise en place de la PDUC, la vingtaine de déclarants se voit obligée de faire des navettes systématiques en milieu d’année entre les sites français et polonais, pour collaborer sur les opérations douanières. Une contrainte devenue coûteuse et peu compatible avec les process d’une entreprise mondiale.
TITRE
« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
or, selon les lignes de produits, la production et les commandes sont réalisées dans l’un ou l’autre des deux pays de l’Union : Pologne et France. Avant la mise en place de la PDUC, la vingtaine de déclarants se voit obligée de faire des navettes systématiques en milieu d’année entre les sites français et polonais, pour collaborer sur les opérations douanières. Une contrainte devenue coûteuse et peu compatible avec les process d’une entreprise mondiale.
« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
or, selon les lignes de produits, la production et les commandes sont réalisées dans l’un ou l’autre des deux pays de l’Union : Pologne et France. Avant la mise en place de la PDUC, la vingtaine de déclarants se voit obligée de faire des navettes systématiques en milieu d’année entre les sites français et polonais, pour collaborer sur les opérations douanières. Une contrainte devenue coûteuse et peu compatible avec les process d’une entreprise mondiale.
« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
or, selon les lignes de produits, la production et les commandes sont réalisées dans l’un ou l’autre des deux pays de l’Union : Pologne et France. Avant la mise en place de la PDUC, la vingtaine de déclarants se voit obligée de faire des navettes systématiques en milieu d’année entre les sites français et polonais, pour collaborer sur les opérations douanières. Une contrainte devenue coûteuse et peu compatible avec les process d’une entreprise mondiale.
« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
or, selon les lignes de produits, la production et les commandes sont réalisées dans l’un ou l’autre des deux pays de l’Union : Pologne et France. Avant la mise en place de la PDUC, la vingtaine de déclarants se voit obligée de faire des navettes systématiques en milieu d’année entre les sites français et polonais, pour collaborer sur les opérations douanières. Une contrainte devenue coûteuse et peu compatible avec les process d’une entreprise mondiale.
« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
or, selon les lignes de produits, la production et les commandes sont réalisées dans l’un ou l’autre des deux pays de l’Union : Pologne et France. Avant la mise en place de la PDUC, la vingtaine de déclarants se voit obligée de faire des navettes systématiques en milieu d’année entre les sites français et polonais, pour collaborer sur les opérations douanières. Une contrainte devenue coûteuse et peu compatible avec les process d’une entreprise mondiale.
« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
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« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
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« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
or, selon les lignes de produits, la production et les commandes sont réalisées dans l’un ou l’autre des deux pays de l’Union : Pologne et France. Avant la mise en place de la PDUC, la vingtaine de déclarants se voit obligée de faire des navettes systématiques en milieu d’année entre les sites français et polonais, pour collaborer sur les opérations douanières. Une contrainte devenue coûteuse et peu compatible avec les process d’une entreprise mondiale.
« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
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« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
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« Depuis les années 2000, notre groupe est engagé dans la dématérialisation de ses procédures douanières. D’abord en 2004 avec le NSTI, ensuite avec DELTA en 2007. Puis, nous sommes arrivés à une PDU en 2011 et, enfin, à une PDUC en 2013 », précise Corinne CAMBONI, de la Direction Douane & Fiscalité de SWM.
« L’objectif de la PDUC était d’effectuer toutes les déclarations douanières à l’export au départ de la France, même sur la marchandise fabriquée en Pologne. Autrement dit, ne pas tenir compte des flux physiques mais considérer le groupe dans sa globalité sur les questions douanières au sein de l’UE », explique Brigitte GEORGES, Customs and Fiscal Director dans le groupe. « Pour faciliter le traitement, nous voulions pouvoir gérer les transactions de A à Z pour un même client sur un seul site central en France, appelé le bureau de domiciliati
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